The Science of Happiness

Les cours commencent en Septembre 2014!

The first MOOC to teach positive psychology. Learn science-based principles and practices for a happy, meaningful life.

We all want to be happy, and there are countless ideas about what happiness is and how we can get some. But not many of those ideas are based on science. That’s where this course comes in.

“The Science of Happiness” is the first MOOC to teach the ground-breaking science of positive psychology, which explores the roots of a happy and meaningful life. Students will engage with some of the most provocative and practical lessons from this science, discovering how cutting-edge research can be applied to their own lives. Created by UC Berkeley’s Greater Good Science Center, the course will zero in on a fundamental finding from positive psychology: that happiness is inextricably linked to having strong social connections and contributing to something bigger than yourself—the greater good. Students will learn about the cross-disciplinary research supporting this view, spanning the fields of psychology, neuroscience, evolutionary biology, and beyond.

What’s more, “The Science of Happiness” will offer students practical strategies for nurturing their own happiness. Research suggests that up to 40 percent of happiness depends on our habits and activities. So each week, students will learn a new research-tested practice that fosters social and emotional well-being—and the course will help them track their progress along the way.

The course’s co-instructors, Dacher Keltner and Emiliana Simon-Thomas, are not only leading authorities on positive psychology but also gifted teachers skilled at making science feel fun and personal. They’ll be joined by world-renowned experts discussing themes like empathy, mindfulness, and gratitude—experts including Rick Hanson, Barbara Fredrickson, Paul Ekman, Sonja Lyubomirsky, and Jon Kabat-Zinn. Health professionals who register can earn continuing education units for their participation.

Financer son entreprise

Ce n’est un secret pour personne : toute entreprise a besoin d’argent pour fonctionner. Mais, quand on se prépare à lancer sa propre entreprise, concrètement, comment fait-on ?

Lorsqu’on souhaite faire une levée de fonds auprès de business angels ou de capitaux risqueurs, qu’est-ce que cela implique ? Etes-vous sûr de vouloir travailler avec des business angels ou des capitaux risqueurs ? Et eux-mêmes d’ailleurs, à quoi pensent-ils lorsqu’ils font une levée de fonds ?

Le but de ce cours est de vous présenter le processus de la levée de fonds et les relations qui s’établissent avec les business angels et capitaux risqueurs.

https://www.youtube.com/watch?v=nvmQgo7BBEM

Le management d’hier et de demain

Le monde change. Les changements sont rapides, quelquefois inattendus. L’entreprise doit s’adapter, être réactive, apprenante, souple, décentralisée. Prises de décisions rapides, échanges d’idées, de savoir- faire, fertilisation croisée, dans le respect des cultures, des différences, complémentarité, capacité à révéler des talents, etc. Esprit start-up : Autonomie, responsabilisation, niveaux hiérarchiques réduits. Garder l’esprit start-up lorsque l’entreprise grandit : Utopie ? Quelles conditions de succès ? Quels risques ? Quelles limites ? Quels atouts : pour la croissance ? pour la pérennité ?

Conférence de Michel Friedlander

Systèmes dynamiques et équations différentielles

Une masselotte accrochée à un ressort, un pendule, ou un circuit électrique connectant condensateur et bobine, constituent des exemples de systèmes dynamiques bien connus, car étudiés au lycée. Mais les exemples abondent tout autant en chimie, en biologie ou en économie.

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Le piano mathématicien

Comme de nombreux phénomènes physiques, le fonctionnement d’un piano peut être modélisé grâce aux mathématiques. Mais le modèle obtenu permet aussi d’aller plus loin, de rêver de pianos impossibles ou d’imaginer des sons nouveaux. La recherche offre ainsi au compositeur un formidable champ d’exploration et de création.

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Optimisation : quand le mieux n’est pas l’ennemi du bien

Petits villages perdus au milieu du désert d’Atacama, au Chili. Une éolienne, des panneaux solaires et un générateur diesel permettent de survivre dans cet environnement hostile. Mais ici, « faire au mieux » prend tout son sens : pour être certain de consommer intelligemment, l’optimisation aide ces « microgrids » à valider leur schéma de fonctionnement. Et ce n’est qu’une des applications en énergie de cette discipline des mathématiques. Chercher la meilleure décision en fonction de contraintes s’applique aussi dans la production, avec l’amélioration d’un bioréacteur où des bactéries digèrent des algues pour produire du gaz. Mais aussi pour la nage de micro organismes qui ont besoin d’économiser leur énergie pour circuler dans notre corps.

Conférence de Pierre Martinon.